El conocimiento histórico

[5]​ Resistente, publica en la prensa clandestina (Cahiers du témoignage chrétien, con jesuitas como de Lubac, dominicos como Chenu).

[b]​[8]​ Al investigar la naturaleza y el valor del conocimiento histórico, el trabajo rechaza el positivismo de la escuela histórica metódica,[9]​[10]​en particular Langlois y Seignobos, así como las filosofías de la historia, que esclavizan al historiador a un sistema o una ley.

[10]​ Se inspira así en la obra de Lucien Febvre, Marc Bloch y Wilhelm Dilthey.

[12]​ Para Marrou, Nous dirons connaissance et non pas, comme tels autres, «narration du passé humain», ou encore «œuvre littéraire visant à le retracer»; sans doute, le travail historique doit normalement aboutir à une œuvre écrite (et nous examinerons ce problème pour terminer), mais il s'agit là d'une exigence de caractère pratique (la mission sociale de l'historien...): de fait, l'histoire existe déjà, parfaitement élaborée dans la pensée de l'historien avant même qu'il l'ait écrite; quelles que puissent être les interférences des deux types d'activité, elles sont logiquement distinctes.

[18]​ El economista Henri Guitton aprecia un libro muy entrañable y que invita a la reflexión.