A modo de agradecimiento, el rey, que ha encontrado su tesoro (ahora duplicado), salva la vida del preudhomme (verso 1274-1378).
[5] El Ángel dice al público de Arras que tiene que imitar a los cruzados en su muerte heroica: Otra lectura del Jeu de Bodel, no obstante, reconoce una llamada a una cruzada no violenta.
Cuando al finalizar la obra todos cantan juntos un Te Deum laudamus a san Nicolás, el teatro se convierte en liturgia civil.
Dice Rey-Flaud: Au Moyen Âge le théâtre… est avant tout le domaine de l’image… [et] la vue est la sens fondamental… [Un] caractère du théâtre médiéval et donc d’être un spectacle.
Ainsi le Jeu de saint Nicolas interpelle directement les hommes d’Arras au seuil du XIII siècle et ces hommes ressentent profondément que leur vie se joue dans la pièce représentée pour eux, mais aussi avec eux… Ce public n’est donc pas passif… Le théâtre du Moyen Âge a donc eu une fonction sociale exceptionnelle… [et] le théâtre de Jean Bodel peut certes être considéré comme un miroir de la société.